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Le handisport est de plus en plus connu et respecté
Enfin, après la 2ème (Deuxième) Guerre mondiale, le sport pour les personnes en situation de handicap est connu et montré.
Depuis, les personnes handicapées peuvent faire du sport dans les grandes compétitions ou juste pour le plaisir.
La recherche médicale, les nouvelles technologies et les médias ont beaucoup aidé à ce progrès.
Comme les autres
Yves Nayme fait tout ce qui est possible pour trouver des aides pour les sportifs handicapés de haut niveau.
Yves Nayme est le premier à défendre les sportifs handicapés de cette manière.
Yves Nayme veut que les sportifs handicapés soient reconnus comme les autres sportifs.
Extrait du programme des Championnats du monde handisport, pages « Des sponsors à la hauteur » et « Saint-Etienne, un cœur grand comme ça ! », juillet 1990, 100 S 4


De l’argent public
L’argent public est l’argent de l’État, de la Région, du Département et de la Ville.
Yves Nayme a des difficultés pour avoir de l’argent de la part de l’État.
Yves Nayme a eu de l’aide par le département de la Loire et de la ville de Saint-Étienne.
La ville de Saint-Étienne donne des équipements et des moyens techniques.
Les courriers d’Yves Nayme sont des demandes de soutiens financiers pour les sportifs handicapés.
Ces courriers montrent les discussions entre les ministres de l’État.
Michel Durafour aide Yves Nayme à trouver de l’argent auprès de l’État.
Michel Durafour est un homme politique de Saint-Étienne.
Michel Durafour a été le maire de Saint-Étienne de 1964 (mille neuf cent soixante-quatre) à 1977 (mille neuf cent soixante-dix-sept).
Michel Durafour a aussi été ministre.



Yves Nayme cherche des aides financières et des aides techniques.
Les aides sont pour organiser les jeux mondiaux de 1970 (mille neuf cent soixante-dix).
Yves Nayme demande de l’aide aux personnes élues dans la région.
Les élus apportent leur soutien pour les jeux de 1970 (mille neuf cent soixante-dix), 1975 (mille neuf cent soixante-quinze) et les championnats du monde de 1990 (mille neuf cent quatre-vingt-dix).



Courrier de Michel Durafour, député-maire de Saint-Étienne à Yves Nayme, 1er décembre 1969, 6037 W 100


Les championnats de handisport sont organisés à Saint-Étienne.
Saint-Étienne devient une ville importante pour le handisport.
Saint-Etienne devient un bon exemple, très positif.
Saint-Étienne fait beaucoup de choses pour les personnes handicapées qui veulent faire du sport.
Courrier d’Yves Nayme adressé à Michel Durafour, maire de Saint-Étienne, 26 août 1970, 6037 W 100



La dynamique du handisport à Saint-Étienne
Avec Jean-François Chossy, Yann Bourdier, Pierre Bayard et Sébastien Lioud, réalisation : Les 87 Revanchards
Extrait du film Vivre plus fort, film de Jean-Claude Parayre,1990, Cinémathèque de Saint-Étienne, RT 1447

Les entreprises qui veulent se faire connaitre sont au rendez-vous des jeux
Des associations caritatives (ce sont des associations qui récoltent de l’argent pour en donner à ceux qui en ont besoin) et des entreprises stéphanoises donnent de l’argent pour organiser les jeux des sportifs handicapés.
Les associations caritatives sont des associations qui récoltent de l’argent pour aider des personnes en difficultés.
L’entreprise Casino est très présente pour faire sa publicité mais aussi pour aider financièrement les sportifs qui ont un handicap.
L’entreprise Casino est un « sponsor » important pour les sportifs.
Un sponsor c’est une entreprise qui peut faire de la publicité pendant un événement (comme les panneaux de publicités autour d’un terrain de foot).
L’entreprise donne de l’argent pour les jeux sportifs pour avoir le droit de faire de la publicité et se faire connaître.
La diffusion des événements sportifs et des sponsors se fait par les médias.
Les médias c’est la télévision, la radio, les journaux, les affiches publicitaires et maintenant internet.
Le Rotary club est une association.
Le Rotary club apporte de l’argent dans l’organisation des jeux de Courchevel de 1972 (mille neuf cent soixante-douze).
Plusieurs anciens présidents du Rotary Club sont des membres du comité d’honneur de la Fédération Française Omnisports des Handicapés Physiques.
Extrait du discours du Rotary international à l’ouverture des jeux d’hiver de Courchevel, mars 1972, 100 S 4

Les entreprises donnent beaucoup d’argent pour être dans les programmes des jeux sportifs. Les entreprises payent aussi pour être dans la revue de la Fédération Française Omnisports des Handicapés Physiques.
Extraits du programme des Jeux européens, 1966, 100 S 4

Du côté du sport
La Fédération Française Handisport est une association.
Elle est créée en 1977 (mille neuf cent soixante-dix-sept).
Le mot handisport est connu grâce à la Fédération Française Handisport.
En 1983 (mille neuf cent quatre-vingt-trois), il y a 2 fédérations :
Il y a la fédération française de sport adapté et la fédération française handisport.
Ces 2 fédérations développent en France les activités physiques et sportives pour les personnes en situation de handicap.
Les personnes en situation de handicap peuvent pratiquer le sport de haut niveau en compétition.
Les tricheries et le dopage apparaissent dans le handisport et dans le sport adapté de haut niveau.
Le dopage c’est quand un sportif prend un médicament ou une drogue pour être plus fort. Le dopage est bien sûr interdit.
La Fédération française de sport adapté a été créée en 1971 (mille neuf cent soixante-et-onze).
La Fédération française de sport adapté organise la pratique sportive pour les personnes en situation de handicap mental ou psychique.


Pour respecter l’égalité dans les compétitions il y a des catégories de handicap.
Créer des catégories c’est comme faire des classements parce que toutes les personnes qui ont un handicap n’ont pas le même handicap.
Chaque sportif handicapé est dans une catégorie.
C’est pour ça qu’il faut faire un classement pour que les jeux sportifs soient les plus justes et égaux pour tout le monde.
Brochure annonçant les jeux de Courchevel, texte d’Yves Nayme, 1972, 100 S 4
Extrait d’un courrier d’Yves Nayme adressé au directeur de cabinet du président de la République, 25 avril 1974, 100 S 2
Coefficients et classification des handicaps dans le sport
Avec Paul Calmels et Pierre Bayard, réalisation : Les 87 Revanchards